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Valensiella amandopolitana
Valensiella? amandopolitana (Valensi, 1955) Eisenack, 1963
Originally Membranilarnax, subsequently Favilarnax, thirdly Valensiella, fourthly (and now) Valensiella?.
Stover and Evitt, 1978, considered this to be a provisionally accepted species of Valensiella.
Sarjeant, 1978, suggested that this may be a species of Stephanelytron Sarjeant, 1961.
Holotype: Valensi, 1955, pl.2, fig.7
Age: Middle Jurassic
Valansi, 1955b:
Holotype: selex jurassique des venesmes (Pl, II, Fig. 7)
La coque est de forme ovoïdale où ellipsoïdale et sa section équatoriale est circulaire. Sa surface est divisée en un petit nombre de champs polygonaux (de 10 à 20 par hémisphere) par un système de crêtes membraneuses soutenues pas des processus en forme de T : les branches de ces T, horizontales et droites, sont généralement au nombre de trois et s’anastomosent entre elles. Une fine pellicule semble parfois envelopper la coque.
Les processus sont presque constamment plus courts à l’un des pôles ou aux deux pôles, mais les champs qui occupent ces pôles ne diffèrent pas des autres. La couleur est toujours brun foncé et la surface de la coque est granuleuse.
Les dimensions, processus compris, sont de 21 à 33 µm pour le petit axe et de 23 à 37 µm pour le grand axe, les dimensions les plus fréuentes se placent aux environs de 25 µm pour le petit axe et de 30 pour le grand axe. Les processus ont de 2 à 4 µm de long et l’on compte de 14 à 30 processus périphérique en coupe optique.
M. amandopolitanum est le microorganisme le plus commun et le plus caractéristique des silex jurassiques du Magdalénien de Saint-Amand. Rarement déformé où abîmé, il est très aisément reconnaissable, car tous ses exemplaires se ressemblent et ont une air famille, qui permet de les identifier de prime abord et sans hésitation.
J’en ai troe=uvé une cinquantaine d’individus, certaines variations possèdent des processis peu nobreux (14 processus périphérique) et relativement plus longs : d’autres, des processis plus nombreux (22 processus péripériques) et relativement plus courts, Un seul individu possède de nombreux champs polygonaux petits et de contour souvent rectangulaire.
M. amandopolitanum appartient à un morphologique assez commun représenté par. Cymatiosphaera pavimenta Defl. Du Silurien et Cymatiosphaera eupeplos Val. Dus Jurassique moyen, il rappelle même d’assez près la C. eupeplos que j’ai dessiné (L. Valensi, 1953, Pl. VIII, Fig. 38). Il diffère cependant de ces Cymatiosphaera par sa taille généralement plus grande et par la présence d’une pellicule externe, d’ailleurs souvent disparue par suite de la fossilisation. La présence de cette pellicule rapproche Membranitarnax amandopolitanum de Membranitarnax ovulum, mais chez ce dernier les dimensions sont doubles et la coque présente à l’un des bouts une ouverture qui n’existe pas chez M. amandopolitanum.
Originally Membranilarnax, subsequently Favilarnax, thirdly Valensiella, fourthly (and now) Valensiella?.
Stover and Evitt, 1978, considered this to be a provisionally accepted species of Valensiella.
Sarjeant, 1978, suggested that this may be a species of Stephanelytron Sarjeant, 1961.
Holotype: Valensi, 1955, pl.2, fig.7
Age: Middle Jurassic
Valansi, 1955b:
Holotype: selex jurassique des venesmes (Pl, II, Fig. 7)
La coque est de forme ovoïdale où ellipsoïdale et sa section équatoriale est circulaire. Sa surface est divisée en un petit nombre de champs polygonaux (de 10 à 20 par hémisphere) par un système de crêtes membraneuses soutenues pas des processus en forme de T : les branches de ces T, horizontales et droites, sont généralement au nombre de trois et s’anastomosent entre elles. Une fine pellicule semble parfois envelopper la coque.
Les processus sont presque constamment plus courts à l’un des pôles ou aux deux pôles, mais les champs qui occupent ces pôles ne diffèrent pas des autres. La couleur est toujours brun foncé et la surface de la coque est granuleuse.
Les dimensions, processus compris, sont de 21 à 33 µm pour le petit axe et de 23 à 37 µm pour le grand axe, les dimensions les plus fréuentes se placent aux environs de 25 µm pour le petit axe et de 30 pour le grand axe. Les processus ont de 2 à 4 µm de long et l’on compte de 14 à 30 processus périphérique en coupe optique.
M. amandopolitanum est le microorganisme le plus commun et le plus caractéristique des silex jurassiques du Magdalénien de Saint-Amand. Rarement déformé où abîmé, il est très aisément reconnaissable, car tous ses exemplaires se ressemblent et ont une air famille, qui permet de les identifier de prime abord et sans hésitation.
J’en ai troe=uvé une cinquantaine d’individus, certaines variations possèdent des processis peu nobreux (14 processus périphérique) et relativement plus longs : d’autres, des processis plus nombreux (22 processus péripériques) et relativement plus courts, Un seul individu possède de nombreux champs polygonaux petits et de contour souvent rectangulaire.
M. amandopolitanum appartient à un morphologique assez commun représenté par. Cymatiosphaera pavimenta Defl. Du Silurien et Cymatiosphaera eupeplos Val. Dus Jurassique moyen, il rappelle même d’assez près la C. eupeplos que j’ai dessiné (L. Valensi, 1953, Pl. VIII, Fig. 38). Il diffère cependant de ces Cymatiosphaera par sa taille généralement plus grande et par la présence d’une pellicule externe, d’ailleurs souvent disparue par suite de la fossilisation. La présence de cette pellicule rapproche Membranitarnax amandopolitanum de Membranitarnax ovulum, mais chez ce dernier les dimensions sont doubles et la coque présente à l’un des bouts une ouverture qui n’existe pas chez M. amandopolitanum.