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Cannosphaeropsis philippotii
Cannosphaeropsis philippotii, Deflandre, 1947, p.1574-1576
Holotype: Deflandre, 1947, text-fig.3
Age: Senonian
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Original description: [Deflandre 1947]: French - not yet translated
Parmi, des microfossils des silex crétecés qui m’ont été soumis par A. Philippot, j’ai retrouvé, provenant de silex Sénoniens de Breuillet, d’excellents spécimens de l’espèce à laquelle je faisais allusion dans ce travail, et dont je n’avais vu jusque-là que des individués de conservation très parfaite et d’âge incertain. Cannosphaeropsis philippoti nov. spec. (figs. 2 et 3) diffère de C. utinensis O. We. : 1e par son grand nombre de processus fourchus ; 2e par son réseau externe trabéculaire bien moins développée, n’intéressant pas tous les processus et, 3e par la ténuité plus grande des trabécules de ce réseau (o, 5 à 1, 2), qui paraissent non pas creux mais pleins, sous réserve des difficultés dès l’observation in situ dans la masse siliceuse enfermant les organismes. Comme chez C. utinensis, on trouve des épines portées par les trabécules. L’attribution générique de C. philippoti ne me semble pas discutable. Par ailleurs, sa parenté morphologique avec les deux espèces d’Hystrichosphères jurassiques précitées est telle que le transfert de celles-ci dans le genre Cannosphaeropsis s’impose. Le genre lui-même doit ainsi être placé dans les lequel certaines espèces, comme H. ramuliferum Defl., ressemblant à un C. philippoti qui serait dépourvu de trabécules.
Holotype: Deflandre, 1947, text-fig.3
Age: Senonian
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Original description: [Deflandre 1947]: French - not yet translated
Parmi, des microfossils des silex crétecés qui m’ont été soumis par A. Philippot, j’ai retrouvé, provenant de silex Sénoniens de Breuillet, d’excellents spécimens de l’espèce à laquelle je faisais allusion dans ce travail, et dont je n’avais vu jusque-là que des individués de conservation très parfaite et d’âge incertain. Cannosphaeropsis philippoti nov. spec. (figs. 2 et 3) diffère de C. utinensis O. We. : 1e par son grand nombre de processus fourchus ; 2e par son réseau externe trabéculaire bien moins développée, n’intéressant pas tous les processus et, 3e par la ténuité plus grande des trabécules de ce réseau (o, 5 à 1, 2), qui paraissent non pas creux mais pleins, sous réserve des difficultés dès l’observation in situ dans la masse siliceuse enfermant les organismes. Comme chez C. utinensis, on trouve des épines portées par les trabécules. L’attribution générique de C. philippoti ne me semble pas discutable. Par ailleurs, sa parenté morphologique avec les deux espèces d’Hystrichosphères jurassiques précitées est telle que le transfert de celles-ci dans le genre Cannosphaeropsis s’impose. Le genre lui-même doit ainsi être placé dans les lequel certaines espèces, comme H. ramuliferum Defl., ressemblant à un C. philippoti qui serait dépourvu de trabécules.