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Favilarnax amandopolitanum
Favilarnax amandopolitanum (Valensi, 1955) Sarjeant, 1963
Now Valensiella?. Originally Membranilarnax, subsequently Favilarnax, thirdly Valensiella, fourthly (and now) Valensiella?.
Holotype: Valensi, 1955, pl.2, fig.7
Age: Middle Jurassic
Valansi, 1955b:
Holotype: selex jurassique des venesmes (Pl, II, Fig. 7)
La coque est de forme ovoïdale où ellipsoïdale et sa section équatoriale est circulaire. Sa surface est divisée en un petit nombre de champs polygonaux (de 10 à 20 par hémisphere) par un système de crêtes membraneuses soutenues pas des processus en forme de T : les branches de ces T, horizontales et droites, sont généralement au nombre de trois et s’anastomosent entre elles. Une fine pellicule semble parfois envelopper la coque.
Les processus sont presque constamment plus courts à l’un des pôles ou aux deux pôles, mais les champs qui occupent ces pôles ne diffèrent pas des autres. La couleur est toujours brun foncé et la surface de la coque est granuleuse.
Les dimensions, processus compris, sont de 21 à 33 µm pour le petit axe et de 23 à 37 µm pour le grand axe, les dimensions les plus fréuentes se placent aux environs de 25 µm pour le petit axe et de 30 pour le grand axe. Les processus ont de 2 à 4 µm de long et l’on compte de 14 à 30 processus périphérique en coupe optique.
M. amandopolitanum est le microorganisme le plus commun et le plus caractéristique des silex jurassiques du Magdalénien de Saint-Amand. Rarement déformé où abîmé, il est très aisément reconnaissable, car tous ses exemplaires se ressemblent et ont une air famille, qui permet de les identifier de prime abord et sans hésitation.
J’en ai troe=uvé une cinquantaine d’individus, certaines variations possèdent des processis peu nobreux (14 processus périphérique) et relativement plus longs : d’autres, des processis plus nombreux (22 processus péripériques) et relativement plus courts, Un seul individu possède de nombreux champs polygonaux petits et de contour souvent rectangulaire.
M. amandopolitanum appartient à un morphologique assez commun représenté par. Cymatiosphaera pavimenta Defl. Du Silurien et Cymatiosphaera eupeplos Val. Dus Jurassique moyen, il rappelle même d’assez près la C. eupeplos que j’ai dessiné (L. Valensi, 1953, Pl. VIII, Fig. 38). Il diffère cependant de ces Cymatiosphaera par sa taille généralement plus grande et par la présence d’une pellicule externe, d’ailleurs souvent disparue par suite de la fossilisation. La présence de cette pellicule rapproche Membranitarnax amandopolitanum de Membranitarnax ovulum, mais chez ce dernier les dimensions sont doubles et la coque présente à l’un des bouts une ouverture qui n’existe pas chez M. amandopolitanum.
Translated by Google:
Favilarnax amandopolitanum (Valensi, 1955) Sarjeant, 1963
Now Valensiella?. Originally Membranilarnax, subsequently Favilarnax, thirdly Valensiella, fourthly (and now) Valensiella?.
Holotype: Valensi, 1955, pl.2, fig.7
Age: Middle Jurassic
Valansi, 1955b:
Holotype: Jurassic selex of the venesmes (Pl, II, Fig. 7)
The shell is ovoid or ellipsoidal in shape and its equatorial section is circular. Its surface is divided into a small number of polygonal fields (from 10 to 20 per hemisphere) by a system of membranous ridges supported by T-shaped processes: the branches of these Ts, horizontal and straight, are generally three in number. and anastomose with each other. A thin film sometimes seems to envelop the shell.
The processes are almost always shorter at one or both poles, but the fields occupying these poles do not differ from the others. The color is always dark brown and the surface of the shell is grainy.
The dimensions, process included, are 21 to 33 µm for the minor axis and 23 to 37 µm for the major axis, the most frequent dimensions are around 25 µm for the minor axis and 30 for the major axis . The processes are 2 to 4 µm long and there are 14 to 30 peripheral processes in optical section.
M. amandopolitanum is the most common and characteristic microorganism of the Jurassic flints of the Magdalenian of Saint-Amand. Rarely deformed or damaged, it is very easily recognizable, because all its copies look alike and have a family resemblance, which allows them to be identified at first glance and without hesitation.
I have found about fifty individuals, some variations have few processis (14 peripheral processes) and relatively longer: others, more numerous processis (22 peripheral processes) and relatively shorter, Only one individual has many small polygonal fields and often rectangular outlines.
M. amandopolitanum belongs to a fairly common morphological represented by Cymatiosphaera pavimenta Defl. from the Silurian and Cymatiosphaera eupeplos Val. from the Middle Jurassic, it even recalls quite closely the C. eupeplos that I drew (L. Valensi, 1953, Pl. VIII, Fig. 38). It differs, however, from these Cymatiosphaera by its generally larger size and by the presence of an external pellicle, which moreover often disappeared as a result of fossilization. The presence of this pellicle brings Membranitarnax amandopolitanum closer to Membranitarnax ovulum, but in the latter the dimensions are double and the shell has an opening at one end which does not exist in M. amandopolitanum.
Now Valensiella?. Originally Membranilarnax, subsequently Favilarnax, thirdly Valensiella, fourthly (and now) Valensiella?.
Holotype: Valensi, 1955, pl.2, fig.7
Age: Middle Jurassic
Valansi, 1955b:
Holotype: selex jurassique des venesmes (Pl, II, Fig. 7)
La coque est de forme ovoïdale où ellipsoïdale et sa section équatoriale est circulaire. Sa surface est divisée en un petit nombre de champs polygonaux (de 10 à 20 par hémisphere) par un système de crêtes membraneuses soutenues pas des processus en forme de T : les branches de ces T, horizontales et droites, sont généralement au nombre de trois et s’anastomosent entre elles. Une fine pellicule semble parfois envelopper la coque.
Les processus sont presque constamment plus courts à l’un des pôles ou aux deux pôles, mais les champs qui occupent ces pôles ne diffèrent pas des autres. La couleur est toujours brun foncé et la surface de la coque est granuleuse.
Les dimensions, processus compris, sont de 21 à 33 µm pour le petit axe et de 23 à 37 µm pour le grand axe, les dimensions les plus fréuentes se placent aux environs de 25 µm pour le petit axe et de 30 pour le grand axe. Les processus ont de 2 à 4 µm de long et l’on compte de 14 à 30 processus périphérique en coupe optique.
M. amandopolitanum est le microorganisme le plus commun et le plus caractéristique des silex jurassiques du Magdalénien de Saint-Amand. Rarement déformé où abîmé, il est très aisément reconnaissable, car tous ses exemplaires se ressemblent et ont une air famille, qui permet de les identifier de prime abord et sans hésitation.
J’en ai troe=uvé une cinquantaine d’individus, certaines variations possèdent des processis peu nobreux (14 processus périphérique) et relativement plus longs : d’autres, des processis plus nombreux (22 processus péripériques) et relativement plus courts, Un seul individu possède de nombreux champs polygonaux petits et de contour souvent rectangulaire.
M. amandopolitanum appartient à un morphologique assez commun représenté par. Cymatiosphaera pavimenta Defl. Du Silurien et Cymatiosphaera eupeplos Val. Dus Jurassique moyen, il rappelle même d’assez près la C. eupeplos que j’ai dessiné (L. Valensi, 1953, Pl. VIII, Fig. 38). Il diffère cependant de ces Cymatiosphaera par sa taille généralement plus grande et par la présence d’une pellicule externe, d’ailleurs souvent disparue par suite de la fossilisation. La présence de cette pellicule rapproche Membranitarnax amandopolitanum de Membranitarnax ovulum, mais chez ce dernier les dimensions sont doubles et la coque présente à l’un des bouts une ouverture qui n’existe pas chez M. amandopolitanum.
Translated by Google:
Favilarnax amandopolitanum (Valensi, 1955) Sarjeant, 1963
Now Valensiella?. Originally Membranilarnax, subsequently Favilarnax, thirdly Valensiella, fourthly (and now) Valensiella?.
Holotype: Valensi, 1955, pl.2, fig.7
Age: Middle Jurassic
Valansi, 1955b:
Holotype: Jurassic selex of the venesmes (Pl, II, Fig. 7)
The shell is ovoid or ellipsoidal in shape and its equatorial section is circular. Its surface is divided into a small number of polygonal fields (from 10 to 20 per hemisphere) by a system of membranous ridges supported by T-shaped processes: the branches of these Ts, horizontal and straight, are generally three in number. and anastomose with each other. A thin film sometimes seems to envelop the shell.
The processes are almost always shorter at one or both poles, but the fields occupying these poles do not differ from the others. The color is always dark brown and the surface of the shell is grainy.
The dimensions, process included, are 21 to 33 µm for the minor axis and 23 to 37 µm for the major axis, the most frequent dimensions are around 25 µm for the minor axis and 30 for the major axis . The processes are 2 to 4 µm long and there are 14 to 30 peripheral processes in optical section.
M. amandopolitanum is the most common and characteristic microorganism of the Jurassic flints of the Magdalenian of Saint-Amand. Rarely deformed or damaged, it is very easily recognizable, because all its copies look alike and have a family resemblance, which allows them to be identified at first glance and without hesitation.
I have found about fifty individuals, some variations have few processis (14 peripheral processes) and relatively longer: others, more numerous processis (22 peripheral processes) and relatively shorter, Only one individual has many small polygonal fields and often rectangular outlines.
M. amandopolitanum belongs to a fairly common morphological represented by Cymatiosphaera pavimenta Defl. from the Silurian and Cymatiosphaera eupeplos Val. from the Middle Jurassic, it even recalls quite closely the C. eupeplos that I drew (L. Valensi, 1953, Pl. VIII, Fig. 38). It differs, however, from these Cymatiosphaera by its generally larger size and by the presence of an external pellicle, which moreover often disappeared as a result of fossilization. The presence of this pellicle brings Membranitarnax amandopolitanum closer to Membranitarnax ovulum, but in the latter the dimensions are double and the shell has an opening at one end which does not exist in M. amandopolitanum.