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Scriniodinium torulosum
Scriniodinium? torulosum (Deflandre, 1943) Lentin and Williams, 1973
Originally Gymnodinium, subsequently (and now) Scriniodinium?. At the time of the transfer, Lentin and Williams, 1973 questionably included this species in Scriniodinium. Stover and Evitt, 1978 considered this to be a "problematical
species" of Scriniodinium, suggesting that it is an acritarch; however, Riding and Fensome (2003, p.19) considered it to represent dinoflagellates, albeit as a questionable species of Scriniodinium.
Holotype: Deflandre, 1943, pl.17, figs.7-8, text-figs.17-20; Jan du Chêne et al., 1986, pl.104, figs.5-6
Age: Senonian
Original description, Deflandre 1943: Gymnodinium torulosum n. sp. (Fig. 17 a 25 et Pl. XVII, fig. 7, 8.)
Holotype: AR 37. Silex (Senonien) S. 140, Saint-Leu-la-Foret (S.-et-O.).
Paratypes : AR 36, AR 38, AR 39, même provenance.
Contrairement aux autres espèces de Gymnodinium des silex que j’ai observée, sont la membrane est apparemment assez robuste et de contour très ferme, cette nouvelle forme est extrêmement transparente et difficile à étudier. Les quatre spécimens rencontres jusqu’ici paraissent enkystés, comme le sont la plupart des Gymnodinium jurassiques que j’ai décrits dans les marnes oxfordiennes de Villiers-sur-Mer. Le kyste est plus ou moins régulièrement ellipsoïdal. Son contour est ce qu’il y a de plus visible dans cellule, par suite de l’épaisseur de samembrane, legerement teintée, d’un brunatre clair. Le contour general de la membrane cellulaire est hexagonal à angles arrondid. L’epiteque et l’hypothèque sont sensible egales et en forme de tronce de cône à flancs legerent concaves. Le sillon transversal, helocoidal, est extremnetment retreci dans sa partie interne ; ses deux levres forment deux sortes de larges bourrelets, dont la coupe optique mediane est arrondie. De semblables bourrelets, toriques, limités par une membrane interne hyaline (?), de contour indécis, occupent les deux pôles de l'organisme, eux-mêmes un peu déprimes vers leur centre. Par ailleurs, la surface de la cellule montre quelques ombres (fig. 18, 21, 24) qui semblent délimiter des aires plus claires, sans toutefois qu'on puisse évoquer l'idée d'une tabulation. Dans l'holotype et dans l'un des pratypes, l'un des bords du sillon longitudinal est très perceptible, ce qui a permis d'ailleurs de rétablir l'aspect réel (fig. 19) de la face ventrale, observée par transparence. Enfin, l'un des spécimens, qui se présente en vue polaire oblique, laisse supposer que le pole peut être quadrangulaire, ce que les vues frontales bien m:ientees ne permettent pas de discerner, surtout par suite de leur transparence.
La cellule mesure 27 à 28 µm de long et 24 a 25 µm de large ; le paratype de la figure 21 µm semble être place un peu de cote, montre que la cellule doit être légèrement comprimée et a section transversale elliptique.
Cette longue description, dans. laquelle règne encore toutefois une certaine obscurité, permet néanmoins, jointe aux figures données, de se faire une idée précise de cette curieuse espèce, extrêmement caractéristique et reconnaissable. Seule sa grande transparence est un obstacle à sa recherche, obstacle sur lequel j'attire particulièrement. l'attention. Aucune des espèces marines actuelles ne présente une silhouette comparable a celle de G. torulosum, dont la forme générale en particulier le caractère arrondi des lèvres du sillon transversal se retrouve plus facilement chez diverses especes de Gymnodinium actuels des eaux douces, comme G. mirabile PENARD ou G. carinatum Schilling.
Originally Gymnodinium, subsequently (and now) Scriniodinium?. At the time of the transfer, Lentin and Williams, 1973 questionably included this species in Scriniodinium. Stover and Evitt, 1978 considered this to be a "problematical
species" of Scriniodinium, suggesting that it is an acritarch; however, Riding and Fensome (2003, p.19) considered it to represent dinoflagellates, albeit as a questionable species of Scriniodinium.
Holotype: Deflandre, 1943, pl.17, figs.7-8, text-figs.17-20; Jan du Chêne et al., 1986, pl.104, figs.5-6
Age: Senonian
Original description, Deflandre 1943: Gymnodinium torulosum n. sp. (Fig. 17 a 25 et Pl. XVII, fig. 7, 8.)
Holotype: AR 37. Silex (Senonien) S. 140, Saint-Leu-la-Foret (S.-et-O.).
Paratypes : AR 36, AR 38, AR 39, même provenance.
Contrairement aux autres espèces de Gymnodinium des silex que j’ai observée, sont la membrane est apparemment assez robuste et de contour très ferme, cette nouvelle forme est extrêmement transparente et difficile à étudier. Les quatre spécimens rencontres jusqu’ici paraissent enkystés, comme le sont la plupart des Gymnodinium jurassiques que j’ai décrits dans les marnes oxfordiennes de Villiers-sur-Mer. Le kyste est plus ou moins régulièrement ellipsoïdal. Son contour est ce qu’il y a de plus visible dans cellule, par suite de l’épaisseur de samembrane, legerement teintée, d’un brunatre clair. Le contour general de la membrane cellulaire est hexagonal à angles arrondid. L’epiteque et l’hypothèque sont sensible egales et en forme de tronce de cône à flancs legerent concaves. Le sillon transversal, helocoidal, est extremnetment retreci dans sa partie interne ; ses deux levres forment deux sortes de larges bourrelets, dont la coupe optique mediane est arrondie. De semblables bourrelets, toriques, limités par une membrane interne hyaline (?), de contour indécis, occupent les deux pôles de l'organisme, eux-mêmes un peu déprimes vers leur centre. Par ailleurs, la surface de la cellule montre quelques ombres (fig. 18, 21, 24) qui semblent délimiter des aires plus claires, sans toutefois qu'on puisse évoquer l'idée d'une tabulation. Dans l'holotype et dans l'un des pratypes, l'un des bords du sillon longitudinal est très perceptible, ce qui a permis d'ailleurs de rétablir l'aspect réel (fig. 19) de la face ventrale, observée par transparence. Enfin, l'un des spécimens, qui se présente en vue polaire oblique, laisse supposer que le pole peut être quadrangulaire, ce que les vues frontales bien m:ientees ne permettent pas de discerner, surtout par suite de leur transparence.
La cellule mesure 27 à 28 µm de long et 24 a 25 µm de large ; le paratype de la figure 21 µm semble être place un peu de cote, montre que la cellule doit être légèrement comprimée et a section transversale elliptique.
Cette longue description, dans. laquelle règne encore toutefois une certaine obscurité, permet néanmoins, jointe aux figures données, de se faire une idée précise de cette curieuse espèce, extrêmement caractéristique et reconnaissable. Seule sa grande transparence est un obstacle à sa recherche, obstacle sur lequel j'attire particulièrement. l'attention. Aucune des espèces marines actuelles ne présente une silhouette comparable a celle de G. torulosum, dont la forme générale en particulier le caractère arrondi des lèvres du sillon transversal se retrouve plus facilement chez diverses especes de Gymnodinium actuels des eaux douces, comme G. mirabile PENARD ou G. carinatum Schilling.