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Phthanoperidinium campoense
Phthanoperidinium? campoense Caro, 1973
Originally Phthanoperidinium, subsequently (and now) Phthanoperidinium?. Stover and Evitt, 1978 considered this to be a provisionally accepted species of Phthanoperidinium.
Holotype: Caro, 1973, pl.4, fig.7
Age: Early Eocene
Original description, Caro 1973, p. 359-360: Phthanoperidinium campoense, sp.nov. (Pl. 4, fig. 7)
Origine du nom: Campo (Prov. De Huesca, Espagne), lieu de la section étudiée
Diagnose : Thèque à bords convexes possédant une corne apicale courtes et une seule corne antapicale. Les lignes de sutures sont marquées par une membrane irrégulier surmontée de courts appendices irrégulièrement repartis. La tabulation serait 3’(ou 4’) 3a, 6’’, 6c, 5’’’, 1p.i., 1’’’’. L’archeopyle serait intercalaire perte des plaques 3a.
Holotype : lame 642 (2), coupe de Campo
Dimensions holotype (1 seul individu présent à Campo):
Hauteur, 45 µm,
Largeur, 43 µm
Membrane, hauteur, 3 µm
Appendices, longueur, 2 µm
Cingulum, épaisseur moyenne : 5 µm
Archeopyle, largeur moyenne : 15 à 20 µm
Description : La corne apicale est courte, plus ou moins cachée par la collerette que forme la membrane sur les sutures des plaques apicales. Les prolongements des lames en courts appendices sont irrégulièrement distribues et irréguliers aussi en hauteur. Le cingulum est hélicoïdal, laissant sur la face ventrale une surface sulcale très large et longue, bordée de plaques sulcales très petites (2 ou 3) sur l’hypothèque,. Une plaque plus petite existe aussi au bord du sillon longitudinal, près de la plaque 1’’’.
Remarque : Bien que la tabulation de la présente espace ne corresponds pas exactement à la tabulation décrite par Drugg et loeblich (1967) pour le type d’espèce P. amaenum, soit 4’, 3a, 7’’, 5c, 5’’’, la-pl., 1d-pl., 1 S. pl., 1 p. pl/, 2’’’’, la tabulation que nous donnons pour la présente espèce ne s’en écarte pas trop. Il faut remarquer que nous n ; avons observé qu`un seul individu, le seul présent dans les échantillons, et que l’observation des plaques antapicales est difficile. Il est possible que les petites plaques observées dal l’épithèque |(près de la plaque 1’’) et dans l’hypothèque (plaques sulcale) correspondent aux «platelets» de Drugg et Loeblich 1a. pl., 1d-pl., 1 S. pl. L’archeopyle correspond dans la présente espace aux plaques 3a. Eaton (1969) mentionne à propos de P. tritonium que dans un individu les 3 plaques intercalaires (3a) sont absentes. Hussain (1967) a créé un nouveau genre Downiea, type d’espèce : Downiea diodontos dont les caractères génériques, archeopyle correspondant aux trois plaques intercalaires 3 a, large sillon longitudinal, tabulation, sont des caractères observables dans la présente espèce. Le genre créé par Hussain a été décrit dan thèse d’Université, non publiée, et n’est pas valide. La présente espace ne peur être incluse dans le genre Spinidinium (Spinidinium styloniferum) Cookson et Eisenack 1962. Le type d’espèce, bien très proche d’apparence de P. campoense n’a pas de tabulation apparente.
Originally Phthanoperidinium, subsequently (and now) Phthanoperidinium?. Stover and Evitt, 1978 considered this to be a provisionally accepted species of Phthanoperidinium.
Holotype: Caro, 1973, pl.4, fig.7
Age: Early Eocene
Original description, Caro 1973, p. 359-360: Phthanoperidinium campoense, sp.nov. (Pl. 4, fig. 7)
Origine du nom: Campo (Prov. De Huesca, Espagne), lieu de la section étudiée
Diagnose : Thèque à bords convexes possédant une corne apicale courtes et une seule corne antapicale. Les lignes de sutures sont marquées par une membrane irrégulier surmontée de courts appendices irrégulièrement repartis. La tabulation serait 3’(ou 4’) 3a, 6’’, 6c, 5’’’, 1p.i., 1’’’’. L’archeopyle serait intercalaire perte des plaques 3a.
Holotype : lame 642 (2), coupe de Campo
Dimensions holotype (1 seul individu présent à Campo):
Hauteur, 45 µm,
Largeur, 43 µm
Membrane, hauteur, 3 µm
Appendices, longueur, 2 µm
Cingulum, épaisseur moyenne : 5 µm
Archeopyle, largeur moyenne : 15 à 20 µm
Description : La corne apicale est courte, plus ou moins cachée par la collerette que forme la membrane sur les sutures des plaques apicales. Les prolongements des lames en courts appendices sont irrégulièrement distribues et irréguliers aussi en hauteur. Le cingulum est hélicoïdal, laissant sur la face ventrale une surface sulcale très large et longue, bordée de plaques sulcales très petites (2 ou 3) sur l’hypothèque,. Une plaque plus petite existe aussi au bord du sillon longitudinal, près de la plaque 1’’’.
Remarque : Bien que la tabulation de la présente espace ne corresponds pas exactement à la tabulation décrite par Drugg et loeblich (1967) pour le type d’espèce P. amaenum, soit 4’, 3a, 7’’, 5c, 5’’’, la-pl., 1d-pl., 1 S. pl., 1 p. pl/, 2’’’’, la tabulation que nous donnons pour la présente espèce ne s’en écarte pas trop. Il faut remarquer que nous n ; avons observé qu`un seul individu, le seul présent dans les échantillons, et que l’observation des plaques antapicales est difficile. Il est possible que les petites plaques observées dal l’épithèque |(près de la plaque 1’’) et dans l’hypothèque (plaques sulcale) correspondent aux «platelets» de Drugg et Loeblich 1a. pl., 1d-pl., 1 S. pl. L’archeopyle correspond dans la présente espace aux plaques 3a. Eaton (1969) mentionne à propos de P. tritonium que dans un individu les 3 plaques intercalaires (3a) sont absentes. Hussain (1967) a créé un nouveau genre Downiea, type d’espèce : Downiea diodontos dont les caractères génériques, archeopyle correspondant aux trois plaques intercalaires 3 a, large sillon longitudinal, tabulation, sont des caractères observables dans la présente espèce. Le genre créé par Hussain a été décrit dan thèse d’Université, non publiée, et n’est pas valide. La présente espace ne peur être incluse dans le genre Spinidinium (Spinidinium styloniferum) Cookson et Eisenack 1962. Le type d’espèce, bien très proche d’apparence de P. campoense n’a pas de tabulation apparente.