Back
Dinogymnium marthae
Dinogymnium marthae (Deflandre, 1943) Evitt et al., 1967
Originally Gymnodinium, subsequently (and now) Dinogymnium.
Holotype: Deflandre, 1943, pl.17, fig.1; text-figs.1-4
Age: Senonian
Original description, Deflandre, 1943: Gymnodinium marthae n.sp. (Fig. 1 à 4 et Pl. XVII, fig. 1)
Holotype : AR 42 (Silex ( ? Senonien) S. 156, Vanves, Seine
Cette jolie petite espèce possède une silhouette bien particulière, due à une disproportion marquée entre la taille de l’epithèque et celle de l’hypothèque. Le type, unique, se repreente en bue laterale droite par rapport à la face ventrale. Le jeu de la mise au point permet de rétablir la vue ventrale avec une approximatoion très suffisante (fig. 3), encore que l’on ne puisse être certain de la forme exacte de l’apex, qui pourrait être un peu arrondi.
Le sillom transversal, relativement large, est helicoïdal. L’épithèque est conique et terminée en pointe mousse. L ; hypothèque, très largement conique, semble un peu tronquée à son extrémité, si on l’observe `aun très forte grossissement (fig. 4). La membrane, hyaline, est très finement et irrégulièrement ponctuée, caractère d’ailleurs susceptible d’être lie `a la conservation.
Les dimensions sont : longueur 135 µm ; Largeur en vue latérale 9 µm, en vue frontale environ 11 à 12 µm mesure très approximable faite avec la vis micrométrique.
Gymnodinium marthae n’est comparable à aucune des espèces du plancton des mers actuelles. La petite relative de son hypothèquepourrait faire songer à un rapprochement avec le genre Massartia Conrad, caractérise par un épithèque d’une taille au moins trois fois supérieur à celle de l’hypothèque. Ici, toutefois, cette proportion est un peu plus faible. Gymnodinium marthae, actuellement l’espèce fossile la plus exiguë, provient d’un rognon de silex, probablement sénonien, recueilli à Vanves (Seine), particulièrement riche en microfossils.
Originally Gymnodinium, subsequently (and now) Dinogymnium.
Holotype: Deflandre, 1943, pl.17, fig.1; text-figs.1-4
Age: Senonian
Original description, Deflandre, 1943: Gymnodinium marthae n.sp. (Fig. 1 à 4 et Pl. XVII, fig. 1)
Holotype : AR 42 (Silex ( ? Senonien) S. 156, Vanves, Seine
Cette jolie petite espèce possède une silhouette bien particulière, due à une disproportion marquée entre la taille de l’epithèque et celle de l’hypothèque. Le type, unique, se repreente en bue laterale droite par rapport à la face ventrale. Le jeu de la mise au point permet de rétablir la vue ventrale avec une approximatoion très suffisante (fig. 3), encore que l’on ne puisse être certain de la forme exacte de l’apex, qui pourrait être un peu arrondi.
Le sillom transversal, relativement large, est helicoïdal. L’épithèque est conique et terminée en pointe mousse. L ; hypothèque, très largement conique, semble un peu tronquée à son extrémité, si on l’observe `aun très forte grossissement (fig. 4). La membrane, hyaline, est très finement et irrégulièrement ponctuée, caractère d’ailleurs susceptible d’être lie `a la conservation.
Les dimensions sont : longueur 135 µm ; Largeur en vue latérale 9 µm, en vue frontale environ 11 à 12 µm mesure très approximable faite avec la vis micrométrique.
Gymnodinium marthae n’est comparable à aucune des espèces du plancton des mers actuelles. La petite relative de son hypothèquepourrait faire songer à un rapprochement avec le genre Massartia Conrad, caractérise par un épithèque d’une taille au moins trois fois supérieur à celle de l’hypothèque. Ici, toutefois, cette proportion est un peu plus faible. Gymnodinium marthae, actuellement l’espèce fossile la plus exiguë, provient d’un rognon de silex, probablement sénonien, recueilli à Vanves (Seine), particulièrement riche en microfossils.