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Hystrichosphaeridium polonicum
Hystrichosphaeridium polonicum Górka, 1965
Now Compositosphaeridium. Originally Hystrichosphaeridium, subsequently (and now) Compositosphaeridium.
Tax. sr. synonym of Hystrichosphaeridium costatum Davey and Williams, 1966, according to Beju, 1971, Erkmen and Sarjeant, 1980, and Courtinat, 1989.
Holotype: G¾rka, 1965, pl.3, fig.5
Age: Oxfordian
Original description (Górka, 1965, still needs translation from French)
Holotypus : Prép. AA 7, pl. III, fig. 5.
Stratum typicum: Oxfordien.
Locus typicus: Magnuszew, prof. 1476,0 m.
Derivatio nominis: polonicum - provenant de Pologne.
Matériel. - Très nombreux exemplaires, assez bien conservés.
Dimensions (en µ): Diamètre de la coque sans processus 20.88 (prép. Z18), 31,32 (prép, AA6), 34.18 (prép. AA5)
Longueur des processus: 17.40 (prép. Z18), 15.66-19.24 (prép. AA6). 13,92-15,66-17,40 (prép. AA5)
Description. - Coque globuleuse avec env. 18-20 processus en tuyaux, élargis à la base, rétrécis au milieu, avec des extrémités distales ouvertes, caliciformes, et qui sont finement dentelées. Ces processus accusent une structure fibreuse que l'on observe également à la surface de la coque. A la base des processus les fibres passent radialement sur la coque (pl. III, fig . 5,6, ainsi que prép. AA6). Outre les processus de ce type, qui dominent, on observe également sur le même exemplaire d'habitude quelques processus aux extrémités grossies en bonnet (prép. Z18, AA5) ou finement dentelés avec des incisions peu marquées. La surface de la coque, fibreuse par endroits, est finement perforée.
Remarques. - Hystrichosphaeridium polonicum n .sp. constitue une forme transitoire entre H. inodes Klumpp et H. eoinodes Eisenack (vide Górka, 1963, pp. 65-66, pl. 9, fig . 8; texte-pl. 7, fig. 6). Il accuse une variabilité poussée dans les extrémités distales des processus, dans la fibrosité de la coque et dans les dimensions. Il diffère de H. inodes Klumpp du Tertiaire d'Allemagne (Klumpp, 1953, pp. 391-392, pl. 18, fig. 1, 2) par la présence de fins processus. Sur la photographie de H. inodes Klumpp de l'Éocène d'Australie (Deflandre & Cookson, 1955, pl. 8, fig . 7) on peut observer ces processus bien qu'ils ne soient pas mentionnésdans la description. Les exemplaires de H. polonicum n.sp. sont toujours plus petits que ceux de H. inodes Klumpp. H. polonicum n.sp. rappelle, par la fibrosité de la coque et des processus, H. inodes gracilis Eisenack de l'Oligocène inférieur d'Allemagne (Eisenack, 1954, pp. 66-67, pl. 8, fig 17; pl. 10, fig. 3-8; pl. 12, fig . 7 et 21) ainsi que de l'Oligocène inférieur et moyen et du Miocène moyen d'Allemagne (Gerlach, 1961. pp. 187-188. pl. 28, fig . 6). Il diffère de cette sous-espèce par la présence de processus plus élancés qui s'effilochent aux extrémités distales ou bien se divisent d'abord en deux ou trois parties qui ensuite se redivisent. Souvent les processus se divisent à leur mi-longueur ou près de
leur partie supérieure, formant une sorte d' "Y" . H. polonicum n .sp . rappelle H. eoinodes Eis . (vide G6rka, 1963) chez lequel on constate également une structure fibreuse des processus, mais leurs extrémités distales sont très endentées et effilochées. Il rappelle également H. truncigerum Defl, (vide G6rka"1963, pp. 64-65, pl. 9, fig. 7; texte-pl. 7, fig . 4), chez lequel on trouve aussi des processus de deux sortes: fins et larges à structure fibreuse, dentelés aux extrémités distales ouvertes. H. polonicum n.sp. rappelle aussi par la fibrosité de la coque et par deux types de processus H. stellatum Maier du Crétacé de Graham Island au Canada (Manum & Cookson, 1964, pp. 14-15, pl. 3, fig . 4), du Crétacé d'Australie (Cookson & Eisenack, 1962, p . 492, pl. 4, fig . 14), ainsi que de l'Oligocène moyen d'Allemagne (Maier, 1959. pp. 320-321, pl. 32: fig. 3-4). Il en diffère par cela que chez H. stellatum les processus sont autrement disposés (la jonction des bases des processus plus larges donne un triangle)et plus effilochés aux extrémités. Les processus minces sont partiellement pointus et partiellement ramifiés aux extrémités. Répartition. - Pologne: Oxfordien de Magnuszew (prof. 1476,0 m).
Now Compositosphaeridium. Originally Hystrichosphaeridium, subsequently (and now) Compositosphaeridium.
Tax. sr. synonym of Hystrichosphaeridium costatum Davey and Williams, 1966, according to Beju, 1971, Erkmen and Sarjeant, 1980, and Courtinat, 1989.
Holotype: G¾rka, 1965, pl.3, fig.5
Age: Oxfordian
Original description (Górka, 1965, still needs translation from French)
Holotypus : Prép. AA 7, pl. III, fig. 5.
Stratum typicum: Oxfordien.
Locus typicus: Magnuszew, prof. 1476,0 m.
Derivatio nominis: polonicum - provenant de Pologne.
Matériel. - Très nombreux exemplaires, assez bien conservés.
Dimensions (en µ): Diamètre de la coque sans processus 20.88 (prép. Z18), 31,32 (prép, AA6), 34.18 (prép. AA5)
Longueur des processus: 17.40 (prép. Z18), 15.66-19.24 (prép. AA6). 13,92-15,66-17,40 (prép. AA5)
Description. - Coque globuleuse avec env. 18-20 processus en tuyaux, élargis à la base, rétrécis au milieu, avec des extrémités distales ouvertes, caliciformes, et qui sont finement dentelées. Ces processus accusent une structure fibreuse que l'on observe également à la surface de la coque. A la base des processus les fibres passent radialement sur la coque (pl. III, fig . 5,6, ainsi que prép. AA6). Outre les processus de ce type, qui dominent, on observe également sur le même exemplaire d'habitude quelques processus aux extrémités grossies en bonnet (prép. Z18, AA5) ou finement dentelés avec des incisions peu marquées. La surface de la coque, fibreuse par endroits, est finement perforée.
Remarques. - Hystrichosphaeridium polonicum n .sp. constitue une forme transitoire entre H. inodes Klumpp et H. eoinodes Eisenack (vide Górka, 1963, pp. 65-66, pl. 9, fig . 8; texte-pl. 7, fig. 6). Il accuse une variabilité poussée dans les extrémités distales des processus, dans la fibrosité de la coque et dans les dimensions. Il diffère de H. inodes Klumpp du Tertiaire d'Allemagne (Klumpp, 1953, pp. 391-392, pl. 18, fig. 1, 2) par la présence de fins processus. Sur la photographie de H. inodes Klumpp de l'Éocène d'Australie (Deflandre & Cookson, 1955, pl. 8, fig . 7) on peut observer ces processus bien qu'ils ne soient pas mentionnésdans la description. Les exemplaires de H. polonicum n.sp. sont toujours plus petits que ceux de H. inodes Klumpp. H. polonicum n.sp. rappelle, par la fibrosité de la coque et des processus, H. inodes gracilis Eisenack de l'Oligocène inférieur d'Allemagne (Eisenack, 1954, pp. 66-67, pl. 8, fig 17; pl. 10, fig. 3-8; pl. 12, fig . 7 et 21) ainsi que de l'Oligocène inférieur et moyen et du Miocène moyen d'Allemagne (Gerlach, 1961. pp. 187-188. pl. 28, fig . 6). Il diffère de cette sous-espèce par la présence de processus plus élancés qui s'effilochent aux extrémités distales ou bien se divisent d'abord en deux ou trois parties qui ensuite se redivisent. Souvent les processus se divisent à leur mi-longueur ou près de
leur partie supérieure, formant une sorte d' "Y" . H. polonicum n .sp . rappelle H. eoinodes Eis . (vide G6rka, 1963) chez lequel on constate également une structure fibreuse des processus, mais leurs extrémités distales sont très endentées et effilochées. Il rappelle également H. truncigerum Defl, (vide G6rka"1963, pp. 64-65, pl. 9, fig. 7; texte-pl. 7, fig . 4), chez lequel on trouve aussi des processus de deux sortes: fins et larges à structure fibreuse, dentelés aux extrémités distales ouvertes. H. polonicum n.sp. rappelle aussi par la fibrosité de la coque et par deux types de processus H. stellatum Maier du Crétacé de Graham Island au Canada (Manum & Cookson, 1964, pp. 14-15, pl. 3, fig . 4), du Crétacé d'Australie (Cookson & Eisenack, 1962, p . 492, pl. 4, fig . 14), ainsi que de l'Oligocène moyen d'Allemagne (Maier, 1959. pp. 320-321, pl. 32: fig. 3-4). Il en diffère par cela que chez H. stellatum les processus sont autrement disposés (la jonction des bases des processus plus larges donne un triangle)et plus effilochés aux extrémités. Les processus minces sont partiellement pointus et partiellement ramifiés aux extrémités. Répartition. - Pologne: Oxfordien de Magnuszew (prof. 1476,0 m).