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Phanerodinium septatum
Phanerodinium septatum Slimani, 1994, p.47–48, pl.7, figs.13–14,39–43.
Holotype: Slimani, 1994, pl.7, figs.13–14,39–41.
Age: late Campanian–late Maastrichtian.
Original description (Slimani, 1994):
Phanerodinium septatum sp. nov. (P1.7, Fig.13,14,39-43)
Dérivation du nom: Des septes parasuturales.
Holotype: Turnhout -933 m, préparation 3, coord. E.F. S32/1.
Localité type: Turnhout -933 m.
Horizon type: Campanien.
Diagnose: Petit kyste proximochorate, acavate, polyédrique, avec un corps central subovoïdal à subsphéroïdal. L'épikyste est environ quatre fois plus petit que l'hypokyste qui est prismatique et plus large avec un maximum de largeur au niveau de la marge postérieure du paracingulum. La surface dorsale est pourvue d'une paratabulaiion indiquée par de hauts septes parasuturaux soutenus par des axes gonaux, tandis que la surface ventrale en est dépourvue. La paratabulaiion est conforme à la formule suivante: ?', 3" - ?6", 3c - ?6c, 3"'- ?6"', lp, 1"". L'archéopyle est précingulaire de type P (?3"), l'opercule est libre.
Dimensions:
Holotype: corps central, longueur: 18 µm, largeur: 14 µm; kyste entier, longueur: 24 µm, largeur: 24 µm.
Variations: corps central; longueur: 16-22 µm, largeur: 12 - 18 µm; kyste entier: longueur: 20 - 30 µm, largeur: 18-30 µm.
Nombre de spécimens mesurés: 7.
Matériel: 8 exemplaires.
Description: Le kyste est aplati dorsoventralement. L'autophragme est lisse à finement ponctué. Les septes parasuturaux sont également lisses à ponctués et hauts par rapport à la taille du kyste (jusqu'à 4 µm de hauteur); les axes gonaux qui les soutiennent sont situés au points de leurs jonctions, ils sont solides, insérés proximalement sur le corps central et atteignent une longueur de 4 à 12 µm. Les septes se prolongent distalement autour de ces axes avec lesquels ils forment de courts processus saillants qui sont acuminés à légèrement capités. La paratabulaiion est exprimée dorsalement par 3 paraplaques précingulaires subtriangulaires, 3 paraplaques paracingulaires rectangulaires, une paraplaque antapicale pentagonale, une paraplaque intercalaire postérieure quadrangulaire et 3 paraplaques postcingulaires dont celle du milieu est pentagonale et les deux autres trapézoïdales. Le paracingulum (allant jusqu'à 4 µm de largeur) et faiblement laevogyre. L'archéopyle de position médiane est subtriangulaire.
Remarque: Phanerodinium septatum sp. nov. est caractérisée par la présence de hauts septes parasuturaux, soutenus par de longs axes gonaux; elle diffère donc de Phanerodinium ovum sp. nov. qui porte contrairement de basses crêtes micropcrlbrées et qui est dépourvue de la plaque intercalaire postérieure. Ph. cayeuxii (DEFLANDRE, 1935) DEFLANDRE (1937a) possède des crêtes basses et verruqueuses et présente 4 paraplaques postcingulaires au lieu de 3. Mirrodinium ?horridum (BELOW, 1987b) LENTIN et WILLIAMS (1989) a une forme comparable à celle de l'espèce étudiée mais, vu sa paratabulaiion complète et son archéopyle apical et intercalaire, elle appartient plutôt au complexe de Mirrodinium qu'à celui de Phanerodinium (Evrrr, 1985: p. 216).
Répartition stratigraphique: Turnhout: -933 à -775,01 m, Campanien sup. - fin Maastrichtien sup.
Holotype: Slimani, 1994, pl.7, figs.13–14,39–41.
Age: late Campanian–late Maastrichtian.
Original description (Slimani, 1994):
Phanerodinium septatum sp. nov. (P1.7, Fig.13,14,39-43)
Dérivation du nom: Des septes parasuturales.
Holotype: Turnhout -933 m, préparation 3, coord. E.F. S32/1.
Localité type: Turnhout -933 m.
Horizon type: Campanien.
Diagnose: Petit kyste proximochorate, acavate, polyédrique, avec un corps central subovoïdal à subsphéroïdal. L'épikyste est environ quatre fois plus petit que l'hypokyste qui est prismatique et plus large avec un maximum de largeur au niveau de la marge postérieure du paracingulum. La surface dorsale est pourvue d'une paratabulaiion indiquée par de hauts septes parasuturaux soutenus par des axes gonaux, tandis que la surface ventrale en est dépourvue. La paratabulaiion est conforme à la formule suivante: ?', 3" - ?6", 3c - ?6c, 3"'- ?6"', lp, 1"". L'archéopyle est précingulaire de type P (?3"), l'opercule est libre.
Dimensions:
Holotype: corps central, longueur: 18 µm, largeur: 14 µm; kyste entier, longueur: 24 µm, largeur: 24 µm.
Variations: corps central; longueur: 16-22 µm, largeur: 12 - 18 µm; kyste entier: longueur: 20 - 30 µm, largeur: 18-30 µm.
Nombre de spécimens mesurés: 7.
Matériel: 8 exemplaires.
Description: Le kyste est aplati dorsoventralement. L'autophragme est lisse à finement ponctué. Les septes parasuturaux sont également lisses à ponctués et hauts par rapport à la taille du kyste (jusqu'à 4 µm de hauteur); les axes gonaux qui les soutiennent sont situés au points de leurs jonctions, ils sont solides, insérés proximalement sur le corps central et atteignent une longueur de 4 à 12 µm. Les septes se prolongent distalement autour de ces axes avec lesquels ils forment de courts processus saillants qui sont acuminés à légèrement capités. La paratabulaiion est exprimée dorsalement par 3 paraplaques précingulaires subtriangulaires, 3 paraplaques paracingulaires rectangulaires, une paraplaque antapicale pentagonale, une paraplaque intercalaire postérieure quadrangulaire et 3 paraplaques postcingulaires dont celle du milieu est pentagonale et les deux autres trapézoïdales. Le paracingulum (allant jusqu'à 4 µm de largeur) et faiblement laevogyre. L'archéopyle de position médiane est subtriangulaire.
Remarque: Phanerodinium septatum sp. nov. est caractérisée par la présence de hauts septes parasuturaux, soutenus par de longs axes gonaux; elle diffère donc de Phanerodinium ovum sp. nov. qui porte contrairement de basses crêtes micropcrlbrées et qui est dépourvue de la plaque intercalaire postérieure. Ph. cayeuxii (DEFLANDRE, 1935) DEFLANDRE (1937a) possède des crêtes basses et verruqueuses et présente 4 paraplaques postcingulaires au lieu de 3. Mirrodinium ?horridum (BELOW, 1987b) LENTIN et WILLIAMS (1989) a une forme comparable à celle de l'espèce étudiée mais, vu sa paratabulaiion complète et son archéopyle apical et intercalaire, elle appartient plutôt au complexe de Mirrodinium qu'à celui de Phanerodinium (Evrrr, 1985: p. 216).
Répartition stratigraphique: Turnhout: -933 à -775,01 m, Campanien sup. - fin Maastrichtien sup.