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Cyclonephelium filoreticulatum
Cyclonephelium filoreticulatum (Slimani, 1994, p.96-97, pl.15, figs.1-6) Prince et al., 1999, p.164. Holotype: Slimani, 1994, pl.15, figs.1-4. Originally Canningia, subsequently (and now) Cyclonephelium. Age: Early-Late Campanian.
Original description (Slimani, 1994) Needs to be translated from French.
Dérivation du nom: Latin: filosa: fibreux; refoulants: réticulé; référence aux processus et septes fibreux et à fectophragme réticulé.
Holotvpe: Beutenaken éch. 4, préparation 5, coord. E. F. X24.
Paratvpe: Halembaye éch. 4, préparation 3. coord. E. F. U25/2.
Localité type: Beutenaken éch. 4.
Horizon type: Campanien sup. (Membre de Zeven Wegen).
Diagnose: Kyste de Canningia, lenticulaire, portant deux protrusions antapicales dont celle de gauche est souvent mieux exprimée. Il est caractérisé par un ectophragme réticulé soutenu par des processus et septes fibroréticulés, assez espacés et atteignant une hauteur d'environ 1/5 du diamètre total. A l'exception de l'archéopyle, La paratabulation est apparemment absente.
Dimensions: Holotype: ectokyste, longueur: 80, largeur: 100 µm; endokyste, longueur: 58, largeur: 60 µm. Variations: ectokyste, longueur: 60 - 90, largeur: 60 -100 µm; endokyste, longueur: 48 - 70, largeur: 40 - 64 µm.Hauteur des septes et des processus: 8 - 20 µm. Largeur des processus 1,5- 10 µm. Longueur de la corne antapicale gauche: environ 10 µm. Les mesures ont été faites sur 18 spécimens sans opercule. Matériel: 40 exemplaires.
Description: Chez cette espèce les bords latéraux sont légèrement bombés dans la région équatoriale. L'autophragme est lisse à faiblement granulé et présente une épaisseur qui varie autour d' 1 µm. Les processus et les septes sont épais d'I à 4 µm. fibreux à réticulés et fortement évasés distalement. Les septes et les processus sont très espacés de 10 jusqu'à 40 µm et connectés proximalement par de basses crêtes qui donnent à la surface du kyste un aspect largement sinueux et irrégulier. La partie centrale de la surface ventrale est souvent dépourvue de processus et septes. L'ectophragme est plus ou moins continu et présente généralement la même forme que le corps central dont il est uniformément sépare.
Les mailles du réticule sont circulaires, ovales, ou polygonales avec un diamètre qui varie entre 0.5 et 8 µm; les plus larges sont alignées en formant des zones plus ou moins fragiles interrompant partiellement l'ectophragme. Ces zones correspondent peut être à des zones parasuturales qui ne sont pas clairement exprimées. L'archéopyle est apical de type (tA) avec une marge zigzaguée montrant un petit sulcal-notch et le bord antérieur de six paraplaques précingulaires: l'opercule est libre.
Comparaison:
Canningiafiloreticuiata sp. nov. est caractérisée par l'aspect sinueux de la surface du kyste et par son ectophragme réticulé qui rappelle Eatonicysta ursulae ( Morgenroth , 1966a) Stover et Evitt (1978). Surtout par sa forme lenticulaire, par la présence de protrusions antapicales et par le type de structures supportant l'ectophragme, la présente espèce se distingue d 'E. ursulae. Sa structure rappelle aussi Pterocystidiopsis ornata Deflandre (1937b) et aussi le spécimen dénommé Membranilarnacia cf. ursulae par Foucher ( 197 lb: p. 102; pl. 8; fig. 6,7), du Coniacien (Pas-de- Calais. France), deux formes mais connues. L'espèce étudiée ressemble peu aux spécimens du paléocène belge déterminés comme Eatonicysta ursulae par Schumacker - Lambry et Chateneuf ( 1976: pl.3; fig. 6, 7), les mêmes spécimens ont été attribués plus tard à Cyclonephelium conopium Denison inéd. par Schumacker-Lambry (1978: p
39; pl. 3; fig. 9, 10). Canningia spongucnculata Prössl( 1990) a les mêmes apparences que Canningia filoreticuiata sp. nov. mais en diffère par la présence d'une paratabulation claire et par son ectophragme lisse ou poreux soutenu seulement par des septes. L'endophragme et l'ectophragme chez Canningia transitoria Stover et Helby ( 1987d) sont aussi assez séparés, mais ils sont plus espacés au niveau de protrusions latérales et antapicales, la paratabulation chez cette espèce est claire. Canningia grandis Helby (1987) présente un plus grand nombre de structures supportant l'ectophragme. Canningia recticulata Cookson et Eisenack (1960b) a un ectophragme et un endophraome beaucoup moins espacés et connectés par un nombre beaucoup plus grand de fines structures. Répartition stratitiraphique:
Beutenaken: éch. 1 à 10, Halembaye: éch. 4 à 25; Campanien inf. - Campanien sup. (Zone à G. quadrata – Zone à B. mucronata. Turnhout: -987 à -966,50 m, Campanien inf. - Campanien sup.
Original description (Slimani, 1994) Needs to be translated from French.
Dérivation du nom: Latin: filosa: fibreux; refoulants: réticulé; référence aux processus et septes fibreux et à fectophragme réticulé.
Holotvpe: Beutenaken éch. 4, préparation 5, coord. E. F. X24.
Paratvpe: Halembaye éch. 4, préparation 3. coord. E. F. U25/2.
Localité type: Beutenaken éch. 4.
Horizon type: Campanien sup. (Membre de Zeven Wegen).
Diagnose: Kyste de Canningia, lenticulaire, portant deux protrusions antapicales dont celle de gauche est souvent mieux exprimée. Il est caractérisé par un ectophragme réticulé soutenu par des processus et septes fibroréticulés, assez espacés et atteignant une hauteur d'environ 1/5 du diamètre total. A l'exception de l'archéopyle, La paratabulation est apparemment absente.
Dimensions: Holotype: ectokyste, longueur: 80, largeur: 100 µm; endokyste, longueur: 58, largeur: 60 µm. Variations: ectokyste, longueur: 60 - 90, largeur: 60 -100 µm; endokyste, longueur: 48 - 70, largeur: 40 - 64 µm.Hauteur des septes et des processus: 8 - 20 µm. Largeur des processus 1,5- 10 µm. Longueur de la corne antapicale gauche: environ 10 µm. Les mesures ont été faites sur 18 spécimens sans opercule. Matériel: 40 exemplaires.
Description: Chez cette espèce les bords latéraux sont légèrement bombés dans la région équatoriale. L'autophragme est lisse à faiblement granulé et présente une épaisseur qui varie autour d' 1 µm. Les processus et les septes sont épais d'I à 4 µm. fibreux à réticulés et fortement évasés distalement. Les septes et les processus sont très espacés de 10 jusqu'à 40 µm et connectés proximalement par de basses crêtes qui donnent à la surface du kyste un aspect largement sinueux et irrégulier. La partie centrale de la surface ventrale est souvent dépourvue de processus et septes. L'ectophragme est plus ou moins continu et présente généralement la même forme que le corps central dont il est uniformément sépare.
Les mailles du réticule sont circulaires, ovales, ou polygonales avec un diamètre qui varie entre 0.5 et 8 µm; les plus larges sont alignées en formant des zones plus ou moins fragiles interrompant partiellement l'ectophragme. Ces zones correspondent peut être à des zones parasuturales qui ne sont pas clairement exprimées. L'archéopyle est apical de type (tA) avec une marge zigzaguée montrant un petit sulcal-notch et le bord antérieur de six paraplaques précingulaires: l'opercule est libre.
Comparaison:
Canningiafiloreticuiata sp. nov. est caractérisée par l'aspect sinueux de la surface du kyste et par son ectophragme réticulé qui rappelle Eatonicysta ursulae ( Morgenroth , 1966a) Stover et Evitt (1978). Surtout par sa forme lenticulaire, par la présence de protrusions antapicales et par le type de structures supportant l'ectophragme, la présente espèce se distingue d 'E. ursulae. Sa structure rappelle aussi Pterocystidiopsis ornata Deflandre (1937b) et aussi le spécimen dénommé Membranilarnacia cf. ursulae par Foucher ( 197 lb: p. 102; pl. 8; fig. 6,7), du Coniacien (Pas-de- Calais. France), deux formes mais connues. L'espèce étudiée ressemble peu aux spécimens du paléocène belge déterminés comme Eatonicysta ursulae par Schumacker - Lambry et Chateneuf ( 1976: pl.3; fig. 6, 7), les mêmes spécimens ont été attribués plus tard à Cyclonephelium conopium Denison inéd. par Schumacker-Lambry (1978: p
39; pl. 3; fig. 9, 10). Canningia spongucnculata Prössl( 1990) a les mêmes apparences que Canningia filoreticuiata sp. nov. mais en diffère par la présence d'une paratabulation claire et par son ectophragme lisse ou poreux soutenu seulement par des septes. L'endophragme et l'ectophragme chez Canningia transitoria Stover et Helby ( 1987d) sont aussi assez séparés, mais ils sont plus espacés au niveau de protrusions latérales et antapicales, la paratabulation chez cette espèce est claire. Canningia grandis Helby (1987) présente un plus grand nombre de structures supportant l'ectophragme. Canningia recticulata Cookson et Eisenack (1960b) a un ectophragme et un endophraome beaucoup moins espacés et connectés par un nombre beaucoup plus grand de fines structures. Répartition stratitiraphique:
Beutenaken: éch. 1 à 10, Halembaye: éch. 4 à 25; Campanien inf. - Campanien sup. (Zone à G. quadrata – Zone à B. mucronata. Turnhout: -987 à -966,50 m, Campanien inf. - Campanien sup.