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Odontochitina streelii
Odontochitina streelii Slimani, 1996, p.377–378, pl.3, figs.A–C; text-figs.6A–B ex Slimani, 2001b, p.5, pl.2, figs.1–2; pl.3, fig..5.
Holotype: Slimani, 1996, pl.3, figs.A–B; Slimani, 2001b, pl.2, figs.1–2. This name was not validly published in Slimani (1996) since no English or Latin description or diagnosis was provided.
Age: late Campanian–early Maastrichtian.
Original description (Slimani, 1996) Not yet translated from French
Dérivation du nom. En l'honneur du Prof. Dr. Maurice Streel, Services associés de Paléontologie, Université de Liège, Liège, Belgique.
Holotype. Beutenake éch. 20, préparation 1, coord. E.F. X28/3; Pl. 3 Fig. A, B.
Paratype. Beutenaken éch. 20, préparation 2, coord. E.F. F42/4; Pl. 3, Fig. C.
Localité type. Beutenaken éch, 20.
Horizon type. Maastrichtien.
Occurence. Beutenaken: éch. 6 à 21 (Campanien sup.); Turnhout -933 à - 892,87 m (Campanien sup.).
Description. Kystes, cornucavate rigide et portant trois minces cornes dont l'extrémité distale pointue est parfois détériorée. La corne postcingulaire droite est généralement plus courte que l'antapicale. Le périphragme est fortement orné de basses crêtes qui lui donnent un aspect strié et en même temps tabulé. L'endophragme est plus épais que le périphragme (2 à 3 µm) et infraréticulé. Ces deux membranes sont étroitement accolées sur le corps central et se séparent au niveau des cornes. Sur le corps central, des crêtes intratabulaires au niveau du périphragme dessinent le contour des paraplaques. Sur les cornes, on observe des crêtes longitudinales. La paratabulation est partiell à quasi complète et suit le modèle gonyalacoïde corniforme: il y a 6 paraplaques précingularies (2-1i), apparement 5 cingulaires (au-?e), 56 postcingulaires (II-VIi), X sulcales et apparemment 1 antapicale (Y) et 1 intercalaire postérieure qui forment la corne antapicale. Le paracingulum d'environ 4 à 6 µm de largeur est légèrement lévogyre. Les crêtes cingulaires s'arrêtent dorsalement sur le bord latéral de la corne droite à la base de laquelle elles laissent souvent voir deux petites saillies marquant la limite droite de la paraplaque cingulaire d, ou bien continuent légèrement sur la surface ventrale. La surface parasulcale étroite, striée et indifférenciée n'est pas clairement délimitée/ La paraplaque précingulaire ì et une paraplaque postérieure (apparemment VIu) ne sont pas striées. La paraplaque 1i est bien délimitée, alongée longitudinalement et s'élargitpostérieurement en V. L'archéopyle est apical avec un bord circulaire et continu. L'opercule est libre. Nous ignorons le nombre des paraplaques apicales puisque nous n'avons pas observé d'opercule.
Dimensions. Longueur du corps central sans opercule"holotype, 66 µm; paratype 46 µm; autres spécimens. 50-60µm. Longueur de la corne latérale: holotype, 72 µm; paratype, 74 µm; longueur de la crone antapical: holotype, 98µm; paratype, 90µm; longuer des deux cornes chez d'autres spécimens, 70-110µm. Nombre de spécimens mesurés: 7.
Remarques. Odontochitina streellii sp. nov. se distingue de Odontochitina operculata (O. Wetzel, 1933) Deflandre et Cookson (1955) par son ornementation qui souligne la paratabulation sur le périphragme et par le bord continu de son archéopyle. Elle diffère de Xenascus wetzelii sp. nov. (dans ce travail) par ses cornes minces, simples et souvent pointues à leur extrémité distale, par son endophragme moins épais et plus finement réticulé, par l'absence de processus et surtout par sa surface striée. Chez Odontochitina costata Alberti (1961), seule les cornes sont striées et en plus perforées.
R;epartition stratigraphique et géographique. Danemark, Belgique et Pays-Bas [dans Wilson (1974); Campanien sup. - Maastrichtien inf. (Zone à B. lanceolata)]
Holotype: Slimani, 1996, pl.3, figs.A–B; Slimani, 2001b, pl.2, figs.1–2. This name was not validly published in Slimani (1996) since no English or Latin description or diagnosis was provided.
Age: late Campanian–early Maastrichtian.
Original description (Slimani, 1996) Not yet translated from French
Dérivation du nom. En l'honneur du Prof. Dr. Maurice Streel, Services associés de Paléontologie, Université de Liège, Liège, Belgique.
Holotype. Beutenake éch. 20, préparation 1, coord. E.F. X28/3; Pl. 3 Fig. A, B.
Paratype. Beutenaken éch. 20, préparation 2, coord. E.F. F42/4; Pl. 3, Fig. C.
Localité type. Beutenaken éch, 20.
Horizon type. Maastrichtien.
Occurence. Beutenaken: éch. 6 à 21 (Campanien sup.); Turnhout -933 à - 892,87 m (Campanien sup.).
Description. Kystes, cornucavate rigide et portant trois minces cornes dont l'extrémité distale pointue est parfois détériorée. La corne postcingulaire droite est généralement plus courte que l'antapicale. Le périphragme est fortement orné de basses crêtes qui lui donnent un aspect strié et en même temps tabulé. L'endophragme est plus épais que le périphragme (2 à 3 µm) et infraréticulé. Ces deux membranes sont étroitement accolées sur le corps central et se séparent au niveau des cornes. Sur le corps central, des crêtes intratabulaires au niveau du périphragme dessinent le contour des paraplaques. Sur les cornes, on observe des crêtes longitudinales. La paratabulation est partiell à quasi complète et suit le modèle gonyalacoïde corniforme: il y a 6 paraplaques précingularies (2-1i), apparement 5 cingulaires (au-?e), 56 postcingulaires (II-VIi), X sulcales et apparemment 1 antapicale (Y) et 1 intercalaire postérieure qui forment la corne antapicale. Le paracingulum d'environ 4 à 6 µm de largeur est légèrement lévogyre. Les crêtes cingulaires s'arrêtent dorsalement sur le bord latéral de la corne droite à la base de laquelle elles laissent souvent voir deux petites saillies marquant la limite droite de la paraplaque cingulaire d, ou bien continuent légèrement sur la surface ventrale. La surface parasulcale étroite, striée et indifférenciée n'est pas clairement délimitée/ La paraplaque précingulaire ì et une paraplaque postérieure (apparemment VIu) ne sont pas striées. La paraplaque 1i est bien délimitée, alongée longitudinalement et s'élargitpostérieurement en V. L'archéopyle est apical avec un bord circulaire et continu. L'opercule est libre. Nous ignorons le nombre des paraplaques apicales puisque nous n'avons pas observé d'opercule.
Dimensions. Longueur du corps central sans opercule"holotype, 66 µm; paratype 46 µm; autres spécimens. 50-60µm. Longueur de la corne latérale: holotype, 72 µm; paratype, 74 µm; longueur de la crone antapical: holotype, 98µm; paratype, 90µm; longuer des deux cornes chez d'autres spécimens, 70-110µm. Nombre de spécimens mesurés: 7.
Remarques. Odontochitina streellii sp. nov. se distingue de Odontochitina operculata (O. Wetzel, 1933) Deflandre et Cookson (1955) par son ornementation qui souligne la paratabulation sur le périphragme et par le bord continu de son archéopyle. Elle diffère de Xenascus wetzelii sp. nov. (dans ce travail) par ses cornes minces, simples et souvent pointues à leur extrémité distale, par son endophragme moins épais et plus finement réticulé, par l'absence de processus et surtout par sa surface striée. Chez Odontochitina costata Alberti (1961), seule les cornes sont striées et en plus perforées.
R;epartition stratigraphique et géographique. Danemark, Belgique et Pays-Bas [dans Wilson (1974); Campanien sup. - Maastrichtien inf. (Zone à B. lanceolata)]